Front national : Jean Verdon quitte le parti et rejoint Carl Lang ! (+ Réflexions sur les Maudits...)Lu sur NOVOpress
28/02/2009 – 17h00
ORLEANS (NOVOpress)
"Jean Verdon, le président du groupe Front national de la région Centre, a annoncé vendredi 27 février au cours d’une conférence de presse qu’il quittait le parti de Jean-Marie Le Pen et rejoignait le tout nouveau Parti de la France du député européen et ancien secrétaire général du FN Carl Lang, lui aussi démissionnaire. Entré au Front en 1984, Jean Verdon siégeait à la région depuis 1986. Il avait également été conseiller municipal de Tours entre 1989 et 1992. Il explique son départ par « une dérive vers un mode de fonctionnement autoritariste, jacobin ».
En outre, Jean Verdon a annoncé la création d’une « nouvelle structure, indépendante de tout parti politique, pour continuer le travail régional de l’équipe constituée en 2004, avec les principes sur lesquels elle avait été élue ». Sur les neuf conseillers régionaux alors élus sur la liste FN conduite par M. Verdon certains ont rejoint le Parti de la France de Carl Lang, d’autres sont devenus indépendants, d’autres encore sont encore au Front national.
« Le groupe France Nouvelle et apparentés, indépendant des partis politiques, est ouvert à tous les conseillers régionaux qui partagent ces idées. Beaucoup d’entre nous dans le groupe constatent que ces dernières ont été progressivement abandonnées par la direction actuelle du Front National, notamment depuis que Marine Le Pen, aujourd’hui vice-président exécutif du Front National, a pris la direction de la campagne présidentielle de son père en 2006 », poursuit le communiqué. Ce groupe est aujourd’hui constitué par les élus régionaux suivants : dans le Cher, Jean d’Ogny ; dans l’Eure-et-Loir, Jacques Dautrême ; dans l’Indre Michel Hubault ; dans l’Indre-et-Loire, Armelle Gantier et Jean Verdon président du groupe ; dans le Loir-et-Cher, Miguel dePeyrecave.
L’annonce de cette création a donné lieu à une réponse assassine de Jean-Lin Lacapelle, membre du Bureau Politique, conseiller régional du Loiret et secrétaire régional FN du Centre, selon qui : « Leurs motivations sont liées à des frustrations exclusivement personnelles mais, il est vrai, qu’il est plus facile de les masquer en prétendant des problèmes de divergence politique ! Ces gens-là n’étaient au Front national que parce que la lumière du pouvoir y brillait et pour assouvir leurs hautes ambitions personnelles ».
Des propos qui ont comme un air de déjà entendu, alors que les défections – parfois de la part de militants de plus de 20 ans, comme ici – se multiplient à quelques mois des élections européennes."
Source :
http://fr.novopress.info/?p=15774* Notes sur les Maudits (par la rédaction de T.A.C.L.E)
Effectivement, la musique et l'orchestre des affreux maudits qui la joue ne sont que trop connus. C'est d'ailleurs l'une des principales raisons de l'inéluctable succès de Carl Lang et du « Parti de la France ».
En effet, en 1998, lors de la scission dite Mégretiste, ce n'est pas rallumer de vieilles querelles que de dire que les partisans de Bruno Mégret faisaient montre d'une certaine arrogance. Quoi de plus normal après tout. Ils avaient pour eux la force du nombre. Nombre d'adhérents, nombre d'élus, nombre de cadres, nombre de fédérations, etc. Ils ne sont certes jamais allés aussi loin dans l'ignoble que les derniers sectateurs actuels du dernier carré, mais avouons qu'ils pensaient que rien ne pouvait leur résister, qu'ils toisaient parfois volontiers leurs collègues du FN, qu'ils ne comprenaient pas pourquoi la totalité des patriotes ne les suivaient pas, qu'ils se sentaient les plus forts et qu'ils jugeaient souvent avec condescendance celles et ceux qui avaient fait le choix de rester fidèles au FN et à JMLP. A l'inverse, celles et ceux qui restaient au FN faisaient preuve de dignité, de sagesse, de mesure, de modestie, d'honneur et d'humilité. Ils (et elles) mesuraient l'ampleur de la tache à accomplir pour sauver ce qui pouvait l'être, à commencer par le Front National et Jean Marie Le Pen.
Les amis de Bruno Mégret se sont lourdement trompés. Nous l'avons évoqué dans le détail par ailleurs. Ils se sont trompés, à leur corps défendant peut être et assurément de bonne foi mais ils se sont trompés quand même, en singeant à outrance le Front National et en apportant rien de neuf ni de nouveau. Ils se sont trompés sur la forme comme sur le fond. Ils se sont trompés jusque dans un culte de la personnalité fort malvenu, comme sur des positions jacobines mal comprises. Mais ils ont échoué avant tout parce que, à tort et à raison, la majorité des patriotes jugeaient que Jean Marie Le Pen était encore le meilleur représentant de nos idées.
Fort de son expérience et de celle des autres, fort de sa fidélité sans faille à notre idéal comme de bien des atouts, nous sommes certains que Carl Lang n'échouera pas. Comme nous avions commencé à l'expliquer, la réaction du « camp devenu d'en face » (et de plus en plus désertique) est une des principales raisons de notre optimisme. Tout un chacun peut aisément constater que, par rapport à 1998/1999, la situation s'est radicalement inversée. Cette fois-ci, ce sont les partants qui font preuve du calme le plus Olympien. Ce sont elles et eux qui sont habité(e)s de l'idée d'être de nouveau libres. Oui, ils (et elles) sont libéré(e)s du joug du népotisme, libéré(e)s de l'absence totale de débats d'idées, libéré(e)s du carcan du vide dans lequel ils (et elles) s'enfermaient peu à peu, libéré(e)s du syndrome mortelle de la secte avant qu'ils n'en soient définitivement atteint(e)s. Aujourd'hui, ce sont Carl Lang, ses camarades du « Parti de la France » et tous leurs alliés qui sont habités par la force et la volonté, avec sagesse, humilité, modestie, mesure, honneur et dignité.
Et les autres ? Si les Mégretistes abusaient parfois quelque peu, que dire des autres aujourd'hui ? Un jour peut être, les historiens et autres socio-politologues se pencheront sur l'actualité nationale que nous vivons depuis plusieurs mois. S'ils le font, ils seront sidérés, pire pulvérisés par ce qu'ils découvriront et étudieront. Dans notre belle langue française, pourtant la plus riche du monde, il n'existe pas de mot assez vrai et assez juste pour définir l'infinie bassesse, l'ignominie crasse, la vulgarité intégrale et la « perfection » dans l'immonde, le mensonge, la calomnie, la bêtise et la stupidité de ces gens là. Ça pue à des kilomètres ! Les tonnes et les tonnes de tombereaux d'injures en forme de pseudo-proses (toutes plus vomitives les unes que les autres) que ces gens là déversent sur celles et ceux qui étaient la veille encore leurs ami(e)s et camarades, restera à jamais un cas d'école. C'est à la fois vulgaire, infernal, nauséabond, édifiant et instructif...
La lecture de cette litanie d'insultes immondes, sous forme d'articles, de commentaires, de réactions et/ou de propos ressemblant en tous points aux méthodes Orwelliennes de "Big Brother" ou aux actes d'accusations des plus grands procès moscoutaires, donnerait la nausée à l'éleveur porcin le plus chevronné. La pestilence de ces déjections est telle qu'elle pollue le Mouvement National dans son ensemble et n'inspire qu'un seul sentiment à tous, nationaux ou non, celui du dégoût et de la honte ! Oui, honte à ceux qui osent agir ainsi, car ils dégoûtent, ils écœurent tout le monde, sans exception, et ils se déshonorent évidemment de façon définitive comme indélébile.
Ils créent des fossés qui deviendront infranchissables et des haines inextinguibles ? Peu nous importe à vrai dire puisqu'ils en porteront seuls l'entière responsabilité.
Ils finiront (comme c'est probable) par sombrer dans la folie ? C'est leur problème si cela leur arrivait.
Ils finiront leur parcours dans les poubelles de l'histoire ? Ce ne serait qu'immanente justice.
Ils accélèrent la fuite des dernières bonnes volontés du tout dernier "carré" prises d'un ultime haut-le-cœur conduisant au sursaut salvateur, révulsées qu'ils sont par ces méthodes et propos particulièrement indignes, et ne supportant plus que leurs ami(e)s et camarades soient ainsi trainés avec hargne, haine et mépris dans la boue la plus crasseuse ? C'est exact, mais on s'en serait bien passé pour le bien de notre famille de pensée et surtout pour son image, image ainsi dégradée par ces gens, alliés objectifs de nos ennemis et adversaires.
Ils vont finir par écœurer les Françaises et les Français qui vont définitivement leur tourner le dos ? Tant mieux et bon débarras ! C'est d'ailleurs plus que certain, nos compatriotes ayant toujours majoritairement eu en sainte horreur tous les veules Fouquier, Lejov et autre Beria, même en version scato et/ou de pacotille.
Le seul, l'unique et authentique crime en fait, c'est qu'en osant agir ainsi, en se salissant sans vergogne ni scrupule, ils salissent par là même nos idées et idéaux aux yeux de tous. Ils achèvent de faire ressembler le Mouvement National à la caricature d'extrême droite sale, ringarde et rance que sert le système à nos compatriotes en guise de soupe médiatique quotidienne ! Même si leurs actions nauséeuses sont pour nous un gage de victoire assurée, elles n'en constituent pas moins un crime absolu contre notre idéal, en faisant, tels des imposteurs, passer la Droite Nationale, Populaire, Sociale et Identitaire que nous aimons tant pour ce qu'elle n'est pas, n'a jamais été et ne sera jamais !
C'est cela et rien que cela que nous ne pardonneront jamais ! Nous ne le pouvons pas !
Pour le reste, nous sommes indifférents. Les inutiles et les parasites n'ont d'autre mission sur terre que celle de faire perdre du temps à ceux qui agissent noblement. Tant pis, nous le rattraperons en retroussant davantage nos manches. Notre certitude et notre foi sont, tels des rocs, absolument inébranlables. Ils nous donnent un nouvel élan, dans la force, la volonté et le courage qu'amène immanquablement la fraîcheur retrouvée. Pire pour eux et mieux pour nous, la joie et l'espoir sont de retour, de nouveau solidement ancrés dans les cœurs nationaux, nationalistes et patriotes. De là découle notre absolue sérénité.
C'est cette sérénité qui avait sauvé le Front National en 1999, et c'est cette même sérénité qui sauvera le Mouvement National en 2009 !
Marc Aurèle affirmait ceci : « O dieux, donnez-moi la sérénité d'accepter ce que je ne puis changer, le courage de changer ce que je puis et la sagesse d'en connaître la différence ».
Et Lao Tseu lui répond comme en écho à travers le temps : « La sérénité dans le désordre est un signe de perfection ».
NB: Nos amis et camarades du MNR comprendront que nous ne sommes revenus sur un passé douloureux que pour la démonstration. Chaque camp avait ses raisons et ses torts, et nous laissons les morts enterrer les morts. Notre volonté d'union la plus large et la plus totale reste évidemment sans faille, à l'image de notre foi en l'avenir, un avenir radieux que nous espérons commun, y compris bien sur avec Bruno Mégret dont nous souhaitons le retour en politique ... si possible au sein du « Parti de la France », avec vous toutes et vous tous bien évidemment. Ne voyez donc dans ces lignes aucune forme de provocation. Merci.