RAPPEL - TOUS A ROUEN LE 10 MAI !
Grand buffet patriotique en hommage à Jeanne d'Arc, avec Carl Lang et le « Parti de la France » !
TOUS A ROUEN LE DIMANCHE 10 MAI !
A l'occasion de la Fête Nationale de Jeanne d'Arc,
Carl LANG, tête de liste du Parti de la France aux élections européennes du 7 Juin 2009 dans la circonscription Nord-Ouest (Nord-Pas-de-Calais, Picardie, Haute-Normandie et Basse-Normandie), vous invite à participer à un grand buffet des patriotes qui se déroulera le :
Dimanche 10 Mai à 12 h30 à Rouen,
salle de la Halle aux Toiles, Place de la Basse Vieille Tour.
Frais de participation : 23 euros
Nous aurons le plaisir de recevoir, lors de ce buffet, des élus européens et des
personnalités de la Droite nationale.
Inscrivez-vous nombreux.
Vous pouvez copier ou recopier librement ce coupon d'inscription à retourner à : P.D.F, 43 Route de Saint Germain, 78 860 Saint-Nom-la-Bretèche.
Tel : 01 30 80 55 89 - Fax : 01 30 80 55 86
Pour tout contact par courriel concernant cette grande manifestation. Une seule adresse : Email : lepdf@orange.fr
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Nom et prénom :
Adresse :
Téléphone :
Courriel :
Réserve pour : ......... personne(s) à 23 euros
Chèque de .... euros (23 euros par personne)
A l'ordre de : “ ASS FIN ELECTORALE DE CARL LANG EURO 2009 ”,
- VENEZ LE PLUS NOMBREUX POSSIBLE ! -
Pour le Renouveau National, au service du peuple français d'abord !
NB: Petit rappel historique pour celles et ceux de nos ami(e)s qui pourraient l'ignorer. C'est après bien des années de lutte que les nationaux, nationalistes et patriotes sont arrivés à imposer l'instauration en France d'une deuxième fête nationale, la fête de Sainte Jeanne d'Arc. Car contrairement aux idées reçues, la fête de Jeanne d'Arc est bel et bien la deuxième fête nationale française, en théorie à égalité avec le 14 juillet. Bien évidemment, dans les faits il n'en est rien, malgré les tentatives de récupérations de Sarkozy, Royal et autres, qui ne le font qu'en période électorale.
En 1905, le parlement français vote la loi dite de séparation de l'Église et de l'État. Bien évidemment, le Saint Siège voit cela d'un très mauvais œil Les relations entre le gouvernement français et le Vatican sont tendues. Les puissances anti chrétiennes de France tentent de tout faire pour ralentir la béatification de Jeanne d'Arc. Celle-ci intervient néanmoins en 1909. A partir de ce moment là, et jusqu'en 1920, les mouvements patriotes, « l'Action Française » en tête, vont tout faire pour qu'une fête nationale en hommage à la Sainte de la Patrie voit le jour. On ne comptera plus le nombre de manifestations, d'arrestations arbitraires, de violences et de condamnations injustes à quantité de peines de prison contre les nationalistes.
La « grande guerre » (1914 / 1918) survient, mais le mouvement perdure et demeure ancré dans les esprits nationaux. La guerre terminée, la lutte reprend de plus belle, avec l'opposition farouche de l'anti France, mais aussi avec de forts soutiens politiques, militants, intellectuels, religieux et populaires, y compris de la part de compatriotes opposés à notre famille de pensée mais profondément honnêtes.
Enfin, en 1920, après la seconde guerre mondiale, un mois après la Canonisation officielle de Jeanne d'Arc par le pape Benoit XV (le 9 mai 1920), la « chambre bleu horizon », composée en majorité de patriotes, fait adopter une loi, sur proposition du député et écrivain nationaliste Maurice Barrès, instituant une Fête Nationale de Jeanne d'Arc (le 24 juin 1920).
Il est ainsi officiellement décidé que notre deuxième fête nationale, la fête de Sainte Jeanne d'Arc, aura lieu tous les ans, le premier dimanche après le 1er mai.
De sa fondation jusqu'en 1987, le FN a toujours fêté Jeanne d'Arc à la date officielle. Mais à partir de 1987, ses dirigeants ont trouvé plus commode de commémorer notre Jeanne nationale le 1er mai, au début pour éviter les amalgames avec les autres formations devenues « infréquentables » pour certain(e)s. Plus tard, le FN prétextera une volonté d'allier le patriote au social en fêtant Jeanne d'Arc le 1er mai. Cette idée a toujours fait débat, une part des patriotes jugeant l'idée excellente, l'autre considérant qu'il était possible voire souhaitable de perpétuer le Tradition et donc de commémorer les deux dates.
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