Quand la dure réalité confine aux plus purs délires !
Un correspondant nous a alerté sur un cas typique et grave d'agression à caractère raciste anti française totalement indéniable.
Jean Michel est un brave français comme il en existe encore. Le 9 mai dernier il se mariait dans la bonne ville d'orange. Il arbore deux petits drapeaux français qui décorent sa voiture. Très souvent, comme l'indique le journaliste, (voir articles plus loin), on voit dans la ville et aux alentours des drapeaux algériens qui flottent au vent lors de mariages. Mais là, deux drapeaux français, ça ne passe pas pour les « chances pour la France ». Jean Michel et son fils termineront le mariage aux urgences, dans un état grave, avec de fortes séquelles, ce après une féroce bastonnade par, accrochez-vous, une trentaine d'individus « de type maghrébin » qui ne supportaient pas de voir des drapeaux Français. Tel quel !
La fausse « grande » presse aux ordres n'en a pas touché un traître mot. Lisez bien tout ce qui suit et imaginer un seul instant que les rôles aient été inversés, et que ce soit une bande de petits blancs français qui se soient rendus coupables d'agression d'une famille maghrébine durant un mariage. Là, vous auriez eu toutes les télés, toutes les radios et toute la classe politique sur les lieux du drame, Sarkozy compris. Là, personne évidemment. Tant que ça dure...
Lisez ami(e)s et camarades, lisez très attentivement et toutes les lignes.
Seul le « Dauphiné » en a parlé. Aussi, nous allons reproduire en fin de sujet deux articles et coupures de presse du « Dauphiné » liés à cette nouvelle affaire de racisme, afin que vous vous forgiez votre propre opinion.
Lisez, oui lisez et relisez très attentivement. Notamment la remarque extraterrestre du journaliste du « Dauphiné » qui indique, alors que la victime n'a fait que narrer les faits, « qu'il serait aisé de lui coller une étiquette de raciste » !!!
Lisez également les réactions de la victime elle même. Adoptant une attitude de pur « Dhimmi », il va jusqu'à oser déclarer ceci, restez bien calés : « Je suis raciste contre les cons. C'est tout. Je demande juste du respect. Mon meilleur ami est arabe, ma femme est métisse et je ne vote pas Le Pen » !!! (Ah la belle image d'Épinal du JMLP d'avant !)
Affligeant est encore un mot trop doux. On vous le dit et on vous le répète, on nage en plein délire tous les jours, mais là les « remarques » de la victime comme celles du journaliste sont non seulement hors-sujet, décalées et déplacées, mais on atteint des sommets dans la folie furieuse.
En fin de page, nous voulions, au départ, publier également le « cri de colère » de la victime (qui n'a décidément pas tout compris c'est clair), qui a également écrit à Nicolas Sarkozy, lui assurant évidemment du fait qu'il n'était pas raciste et qu'il ne voulait pas provoquer. Cependant, nous avons décidé de ne pas le faire, car apparemment, la victime n'accepte pas la légitime critique et se met à hurler aux loups (du « reich » bien sur), exactement comme le « bobo étalon », quand certains, de bon sens, lui ont simplement fait remarquer qu'il n'avait à se justifier en rien. Il se trouve que la victime, ayant cru bon de déclarer docilement (et alors qu'il s'était sauvagement fait agressé avec son fils) qu'il n'avait rien d'un raciste, puis s'étant par anticipation dédouané en affichant fièrement ses médailles de tolérance, a cru bon et heureux de stigmatiser quelques demeurés (qui ?), s'en étant pris à l'origine supposée de son épouse et à la connotation du prénom de son meilleur ami, le tout afin d'en profiter pour se fendre d'une saillie anti-nationaliste. Bref, du grand art dans le grand n'importe quoi. Et oui, on en est piteusement là.
On peut être victime et avoir tout faux par ailleurs. Tel est malheureusement le cas.
Nous comme vous, on a juste envie de dire : « Bon alors, maintenant, c'est quand qu'on arrête les conneries ? »
Ça ne peut plus durer, tout le monde le sait et il faudra bien un jour nettoyer toute cette racaille comme il se doit et pas qu'avec des mots. Alors bonne lecture et méditez bien avant dimanche prochain.
Votez pour les candidats anti identitaires du dernier carré, c'est voter contre vous ! Pas un nationaliste, pas un patriote ne doit voter pour des candidats qui ne seraient pas intégralement identitaires !
Notre identité avant la leur et avant le reste ! Nous sommes chez nous et nous le resterons, quoi qu'il en coûte !
Avons-nous été suffisamment clairs ?
Alors bonne lecture et bonne digestion...
« AGRESSÉ POUR AVOIR EXHIBÉ UN DRAPEAU TRICOLORE DURANT SON MARIAGE !
Ils se souviendront longtemps du samedi 9 mai. Louisa et Jean-Michel Chapuis unissaient leurs destinées.
Mais agressés par quatre individus, le marié et ses deux fils finissaient aux urgences.
Depuis, elle vit "la peur au ventre". Tandis qu'il cherche à comprendre.
Ici comme ailleurs, les mariages deviennent un temps pour exprimer une identité, une appartenance.
Aussi n'est-il pas rare de voir des drapeaux de pays Maghrébins flotter au vent et aux sons des klaxons.
Jean-Michel Chapuis, pilote d'hélicoptère, fils d'une famille de militaires, "fidèles à des valeurs" et "fier de notre pays" avait décidé pour ses noces, de brandir deux fanions tricolores. " Oui, c'était mon idée. Mais sans volonté de provoquer. "Il raconte.
Dix minutes de coups
La fête s'annonçait belle. Les époux amoureux comme au premier jour, il y a 30 ans, lorsqu'à peine sortis de l'adolescence, ils s'étaient déjà aimés.
Avant de tracer chacun leur chemin. " Après la cérémonie à l'hôtel de ville, on s'est attendu à l'Arc de Triomphe. Mais le cortège s'est partagé en deux. On s'est retrouvé les quatre premières voitures devant. Arrivés avenue Charles-de-Gaulle, on a croisé une Mercédes noire.
Les passagers nous ont dit des mots doux car on tenait des drapeaux français ", témoigne Jean-Michel. Après les noms d'oiseaux, des gestes. " Quatre hommes d'origine maghrébine âgés d'une trentaine d'années sont sortis de la berline ".
Le marié et ses fils en feront de même. " On ne voulait pas rester prisonniers dans notre voiture. L'un a attrapé le képi de mon fils militaire et là c'est parti. "
" Seuls contre une trentaine de personnes "
Après les mots, les coups comme s'il en pleuvait. Il était 16h30 et durant 10 minutes, les mains et les pieds ont parlé. " Mes fils, mon neveu, et moi, on s'est retrouvés seuls contre une trentaine de personnes " jusqu'à ce que la police municipale et nationale interviennent.
" Je suis raciste contre les cons "
Le marié et ses deux fils finiront aux urgences. " À la suite du choc, j'ai fait un ictus amnésique sur la mémoire à court terme. Je ne savais plus que j'étais marié. "
Aujourd'hui, le souvenir de cette journée laisse un goût amer. " Du coup, on n'a pas pu faire les photos. Entre les urgences et le commissariat où l'on a déposé plainte, on a rejoint les invités à 22h30. "
Alors bien sûr, à écouter son témoignage, il serait aisé de lui coller une étiquette de raciste.
Tout au long de la rencontre, il s'en est défendu. " Je suis raciste contre les cons. C'est tout. Je demande juste du respect. Mon meilleur ami est arabe, ma femme est métisse et je ne vote pas Le Pen." (SIC Ndlr)
L'hypothèse d'une embuscade ?
Sa femme et lui sont persuadés d'être tombés dans une " embuscade. Le cortège et les deux drapeaux ont été repérés. Car lorsque la Mercédes s'est arrêtée, très vite, on s'est retrouvés devant un très grand nombre de personnes. " De son côté la police, chargée de l'enquête, poursuit ses investigations.
Source : www.ledauphine.com »
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Faites suivre...
9 commentaires:
Je suis Martine, la soeur du marié, et présente lors de l'agression dont nous avons été victime. Je suis en accord évidemment sur le fait que si l'inverse s'était produit nous n'aurions pas fini d'en entendre parler dans tous les médias, des marches de protestations provoquées par différentes associations auraient miraculeusement eu lieu. Mais, en réponse au journaliste qui écrit l'article sur mon frère, je répond: vous n'avez pas le droit de penser pour lui, et de juger une personne que vous ne connaissez pas. Les cons, sont ceux qui ne réfléchissent pas, de toutes nationalités, de toutes confessions religieuses, de tout parti politique, de toutes races ECT... Hors, il faut arrêter de mettre tout le monde dans le même sac, des gens bien et valeureux il y en a partout, mais il faut avoir le courage de dénoncer les injustices c'est tout. Mr ou Me le journaliste, venez interwiever mon frère, et là, vous pourrez jauger, et non juger!!! Je suis prête également à vous recevoir, ça ne me pose aucun problème. Il faut défendre nos valeurs républicaines, notre démocratie, il est évident que tolérance ne veut pas dire "connerie" et tout accepter, loin s'en faut. L'intelligence c'est ne pas reprocher aux autres ce que l'on est soi même, dogmatique et sectaire! sur ce, en France, nous filons un mauvais coton, les gens doivent se réveiller, faire face, se lever ensemble, non pas pour bêtement foutre le feu aux poudres, mais pour faire respecter nos valeurs républicaines et laïques. Celui qui n'est pas en accord avec celà, effectivement à le droit de partir de notre pays, mais celui qui est en accord est le bien venu. On peut être français et fier de l'être sans être un "âne" Vive la France. Liberté, Egalité, Fraternité. A bon entendeur salut
@ Martine,
Madame la sœur du marié, chère Martine,
Tout d'abord, veuillez en premier lieu délivrer toutes mes félicitations pour son mariage à votre frère. D'après ce que j'ai lu il était d'amour et de sincérité. Normalement, ça aurait du être l'un des plus beaux jours de sa vie et de celle de son épouse, et ils l'ont (vous l'avez tous) vécu sous forme de cauchemar, aussi laissez moi également vous délivrer toute ma compassion et tout mon soutien à toutes et à tous.
L'agression dont vous avez été victime en famille est parfaitement immonde, et je me doute que la presse dit vrai quand elle affirme que l'épouse de votre frère vit dorénavant dans la peur. Vous avez pris le temps de m'écrire, aussi je prends celui de vous répondre comme il se doit, même si je devine entre les lignes un ton qui je vous l'avoue ne me plait guère, mais que je mets sur le légitime compte des suites de l'agression.
Avant de passer à ma réponse proprement dite, sachez qu'ici, on ne pense jamais à la place des autres et qu'on ne juge jamais. Seuls comptent les faits, les déclarations et les écrits. Aussi et avant tout, ne dites pas n'importe quoi merci, surtout à propos d'un journaliste qui a signé sa « prose ». La légitime douleur ne saurait tout excuser. Dont acte...
Sur la forme, je partage vos remarques. Sur le fond et dans le détail, je suis franche, non je ne les partage pas.
Je respecte toutes les personnes, quels que soient leur degré d'instruction, niveau social, options politiques, choix de vie, et, comme le veulent la formule et le système en place, la race, le sexe etc, etc et blablabla. Oui, je pratique le respect, mais uniquement si l'on en fait de même avec moi. La réciprocité est pour moi une valeur vitale. Je suis Catholique, mais ni sainte ni bigote, et je ne tends pas la joue, ni la droite ni la gauche, n'étant qu'une humble et imparfaite pécheresse qui l'assume même si elle ne demande qu'à s'améliorer.
« La tolérance, la tolérance, il y a des maisons pour cela ! » La formule n'est pas de moi, mais de Clémenceau, personnage que je n'apprécie que pour ces quelques bons mots d'ailleurs. Le culte de la tolérance érigée en dogme conduit fatalement à tolérer l'intolérable, je crois que votre malheureux exemple récent en est une nouvelle preuve. Moi je pratique, enfin j'essaye de pratiquer la tempérance, à savoir tenter d'être ouverte, sage, et de vivre avec des valeurs humanistes et chrétiennes. Comme je vous l'ai dit, je ne suis pas parfaite, mais j'essaye de travailler sur moi même.
J'en viens maintenant aux faits, tout en précisant que je n'affirme en principe jamais rien que je ne puisse prouver, et que contrairement à vos assertions, je ne juge jamais.
Les faits, Lénine affirmait qu'ils étaient têtus. Moi je dis dans le cas présent qu'ils sont simples.
Le « journaliste » dont vous parlez écrit ceci, après la narration tout à fait simple, normale et naturelle des faits : « Alors bien sur (NOTEZ LE « BIEN SUR » LOURD DE SENS !) à écouter son témoignage, il serait aisé (NOTER LE « AISÉ » !) de lui coller une étiquette de raciste (NOTEZ LE « RACISTE » !).
Alors que vous venez de vous faire agresser de cette manière, alors que les faits tout à fait basiques sont évoqués, un journaliste ose écrire cela !!! ??? !!!
(voir prochain message pour la suite)
@ Martine (suite 1)
J'ai montré cet article partout autour de moi et je peux vous dire que la réaction fut unanime, que tout le monde a été choqué de cette phrase et d'autres !!!
Si vous ne comprenez pas, je ne peux définitivement rien pour vous et vous m'en voyez désolée.
La suite est du même tonneau, en pire.
« Tout au long de la rencontre (NOTEZ LÀ ENCORE LE TOUT AU LONG !), il s'en est défendu (SIC) »
Donc, si l'on en croit ce « journaliste », la rencontre tournait quasi exclusivement autour de « ça », savoir si l'agressé, la « gueule en sang », blessé, sortant des urgences et à peine marié était oui ou non raciste ??? !!! ???
Mais dans quel p..... de monde vit-on ? C'est à se cogner la tête contre les murs !!!
Dois je encore rappeler que dans un supposé état de droit, même si une personne se balade dans la rue avec une pancarte du genre « A mort les nègres ! » (vous voyez je prends un cas extrême pour bien illustrer mon propos), c'est à la police, une fois alertée, de venir cueillir le quidam, de le mettre en garde à vue et de le présenter à un juge. Si d'autres l'agressent pour cela, ce sont des criminels, tel que l'indique encore le code pénal, et ils sont passibles exactement des mêmes peines que si le quidam en question n'avait porté aucun panneau !
Inversons un instant les rôles. Deux mariés d'origine maghrébine se font tabasser le jour de leur mariage par 4, puis 30 blancs, qui les rouent de coups, les envoient aux urgences, au motif que des drapeaux algériens les ont dérangés. Que croyez-vous qu'il adviendrait ? Tout le monde le sait. Tout le gouvernement et tous les médias défileraient, les victimes deviendraient des héros et les assaillants écoperaient de très lourdes peines de prison ! Il y aurait des centaines d'heures de télé consacrées à cette histoire. Là, rien du tout, un articulet dans un journal local et trois sites internet. Fermez le ban !
La fin de l'article est à la fois affligeante voire abjecte, c'est évident pour moi et pour toutes les personnes à qui j'ai montré cet article; personnes de milieux différents je vous l'assure.
« Mon meilleure ami est arabe, ma femme est métisse et je n'ai jamais voté Le Pen » !!!
Je n'ai pas écrit moi même cet article, c'est un de mes collègues qui l'a fait, mais sur le coup je partage son opinion, c'est la quatrième dimension !!!
Déjà, vous avez pu remarquer que nous n'étions pas ici des amoureux transis de Jean Marie Le Pen, mais le mettre en avant en guise de cache sexe antiraciste, c'est d'une vulgarité inouïe ! Passons...
Qu'est ce que viennent faire dans le débat d'une si sauvage agression, qui plus est raciste anti-française, de telles sornettes ?
Si vous ne voyez pas comme un soucis de lire à propos des drapeaux français « je n'entendais pas provoquer » ! (SIC)
Si vous ne voyez pas un très, très grave problème, le syndrome d'une maladie très profonde, que de voir qu'un article commence par « le marié finit aux urgences », et se conclut par « je n'ai jamais voté Le Pen », alors là, je suis sincèrement désolée, mais je ne peux strictement rien pour vous. Rien du tout !
@ Martine (suite 2)
Concernant vos propres propos personnels, j'en dégage l'esprit et je le partage, mais sur le fond, je reste en total désaccord.
Déjà, je ne suis pas « laïciste », c'est un choix personnel. Je suis pour une France catholique et chrétienne, qui respecterait bien sur les autres croyances et les non croyants, et qui serait aussi ouverte aux autres, mais c'est un tout autre débat. Mais puisque vous êtes laïc, je vous rappelle tout de même que l'esprit de la loi de 1905, ce n'est pas du tout « toutes les religions égales » qu'on nous sert aujourd'hui faussement, mais c'était la séparation de l'église (pas des églises) et de l'état. Pas moins, mais surtout pas plus. Or, aujourd'hui, même l'esprit de cette loi (qui n'est pas mienne) est dévoyée ! Vous voyez, ce n'est pas simple... Là les politiques marchent sur des braises, car si on dit demain que la laïcité c'est en fait des mosquées partout, tout le monde ne va pas être d'accord, c'est même sur !
Ensuite, je ne suis en rien républicaine ! Ça non, plus jamais ça ! La république a eu certes son heure de gloire comme son utilité, mais aujourd'hui, elle sert de prétexte aux fausses élites pour établir leur dictature ! Ainsi, la république oblige à vivre pareillement à Marseille ou à Lille. Elle met sur le même plan un arabo musulman qui arrive à peine, avec un très ancien français de souche. Elle met la famille homoparentale à égalité avec des familles saines et normales (oui normales, n'en déplaise à tous les beaufs). Elle méprise et écrase toutes les spécificités de la vie, toutes les cultures régionales. Un seul monde, une seul culture, un seul modèle ! C'est bon, ça a été utile avant OK, mais là on n'en veut plus ! La dictature jacobino républicaine en France écrase tout et méprise tout ! Désolée là encore, mais si je peux me soumettre à Dieu, hors de question de le faire vis à vis d'autres êtres humains qui veulent m'imposer des valeurs que je hais et qui ne sont pas les miennes ! Je ne suis donc pas du tout républicaine, car elle n'est pour moi qu'une dictature collectiviste et inquisitoriale, aussi je vous la laisse volontiers.
N'allez surtout pas vous méprendre et penser que je suis passéiste voire ringarde, car je sais que vous devez penser cela à l'instant où vous lirez ces quelques lignes.
Et bien non, c'est raté ! Je suis aussi traditionnelle que moderne. Je garde le bon de la Tradition comme les bons aspects de la vie moderne ! Qui suis je alors ? Tout simplement une vraie Démocrate ! Et c'est bien là le seul et unique problème. Les politiques n'ont que le mot République à la bouche. Ils ne savent parler que des « valeurs laïques et républicaines » 24H/24. C'est du lavage de cerveau, mais ça marche, la preuve...
Quelles sont leurs valeurs ? Ils n'en ont aucune ! Et c'est bien cela le problème numéro UN ! La France est une république dictatoriale, mais en aucun cas une authentique Démocratie ! Et bien moi je me bats pour que la France soit une Démocratie nationale, enracinée, à cheval entre Tradition et Modernité, ouverte mais fermes sur ses principes ! Le reste... Tout se négocie !
Votre définition de l'intelligence est fausse chère Madame. La vraie serait de dire que l'intelligence est le moteur de l'Homme, ce moteur qui sert à analyser les situations, à les englober, à les appréhender, à les capter, à ressentir comme à émettre. Ce moteur a besoin comme tout moteur de carburants. Il en existe plusieurs pour ce moteur là. Il y a la culture générale qui en est un, mais il y en a d'autres comme le vécu, l'expérience, mais aussi le cœur et l'amour.
Or, aimer, c'est avant tout exclure. Celui ou celle qui ne le reconnaît pas n'a jamais aimé !
L'amour n'est qu'une série d'exclusions selon les principes des cercles concentriques allant du prochain au lointain, ce par différents paliers, enfin niveaux ou degrés.
@ Martine (suite 3)
Vous écrivez ceci : « Celui qui est en accord est le bienvenu » !
Est ce une plaisanterie (de mauvais goût) ?
Il y a plus de 4 milliards de malheureux sur la terre. Il doit bien s'en trouver quelques centaines de millions en accord avec les « valeurs laïques et républicaines » (surtout quand elles sont pour la préférence étrangère). Alors, voulez-vous dire que vous êtes prête à faire venir plusieurs centaines de millions de braves gens en France ? Il faut savoir être logique dans la vie, car la logique c'est ce qui manque le plus à la France. Pourquoi certains et pas les autres ? Sur la base de quoi ? Sans logique, aucune politique possible.
Dans les années 80, par boutade, Coluche avait déclaré ceci : « Chaque français connait au moins un ou deux bons arabes ». Sur la base de, disons 50 millions de français, ça fait 100 millions de personnes ! Faire de la politique en partant de la base, prendre des cas particuliers pour en faire des cas généraux voire une idéologie, c'est tout bonnement criminel !
Il serait bien trop long et fastidieux de faire le tour du sujet de l'immigration ici. Cependant, déjà, la base, c'est de dire que tous ceux qui sont entrés illégalement doivent être renvoyés illico. Point. Ensuite, pas de rétroactivité de la Loi, mais retour sur les naturalisations scandaleuses faites par décrets. Elles doivent toutes être remises en cause, car seule une loi votée par le parlement doit faire foi dans des cas graves touchant à la nationalité et donc à notre identité. Après, il faut supprimer toute forme de double nationalité (ils auront le choix), et, dans le même temps, supprimer toutes les aides sociales sans cotisation pour les étrangers (préférence nationale). Enfin, il faut réformer le code de la nationalité pour ne plus faire des français de papier, tout en réactivant la loi sur la déchéance de la nationalité pour ceux qui se conduiraient comme les nationaux de pays étrangers chez nous en France (le cas de vos agresseurs).
Toutes ces mesures ne sont ni racistes ni extrémistes et ces lois existent dans bien des pays qui sont eux de vrais démocraties, comme chez nos amis Suisses par exemple.
Nous ne demandons pas autre chose !
Quand l'article que nous avons publié stigmatise (à juste titre) l'attitude, les propos et les écrits de votre frère, c'est parce qu'ils sont totalement déplacés et justement hors de propos.
Apparemment, votre frère a été, si l'on comprend bien, plus ou moins insulté, sur le fait d'avoir un ami arabe et une femme métisse franco algérienne. Il est clair que si il a du supporter d'entendre ça, c'est malvenu et assez bas pour tout dire. Cependant, est-ce une raison sérieuse et crédible pour créer des amalgames ?
Regardez bien la situation. D'un côté, injurier de tous les noms possibles, il tombe dans une embuscade, un piège, il se fait rouer de coups, avec ses fils (dont un militaire par dessus le marché !) et son neveu, il termine aux urgences, il a de sérieuses séquelles qui font qu'il ne se rappelle même plus avoir été marié dans la journée, le tout pour deux drapeaux français, alors que nous sommes plus chez nous ici que ces gens c'est une évidence ! Que fait-il ? Il se précipite pour dire, longuement d'après le journaliste, qu'il n'est pas raciste, qu'il a un ami arabe et qu'il n'a jamais voté Le Pen (SIC) !!! De l'autre côté, quelques abrutis (lesquels on ne sait pas) lui reprochent son ami arabe et son épouse métisse. Que fait-il ? Il écrit une longue missive dans laquelle il insulte en retour tous les « nationalo-cons qui sont légions », et les met exactement et au mot près dans le même bain que ses agresseurs !!! Il faut savoir rester sérieux, savoir raison garder et posséder quand même un peu plus le sens des réalités, le sens de l'objectivité et le sens de la mesure...
@ Martine (suite 4 et FIN)
Vu les conditions, nous n'avons même pas accordé un quelconque intérêt à sa prose. Quoi de plus normal ?
Pour vous paraphraser, je dirais que oui, on peut aimer son pays, en être fier, et être en même temps un âne. N'y voyez aucune grossièreté, mais il faut assumer ses propos et ce n'est que le constat de la réalité crue. Les faits, encore les faits...
« Les gens bien » comme vous dites, il y en a partout, vraiment partout, même près de chez soi. Oui, c'est vrai, il y en a partout des braves gens qui ne demandent qu'à vivre en paix. J'en connais personnellement plein. En Espagne, en Italie, en Écosse, en Russie, en Tunisie, au Bénin, en Australie et ailleurs. Ça ne leur donne bien évidemment aucun droit à devenir français. Ils peuvent venir en visite, mais ça ne leur donne strictement aucun droit de rester chez moi.
Être Français, cela s'hérite ou se mérite, point !
Celles et ceux qui en feraient la demande expresse, qui aimeraient la France, qui parleraient notre langue, qui n'auraient jamais été condamnés, qui connaitraient nos us, nos coutumes, nos principales lois, nos valeurs, nos principes, notre mode de vie et qui après un certain temps d'adaptation (en ayant travaillé bien sur) en feraient la demande et seraient disposer à prêter serment et à le respecter comme à respecter toutes les valeurs françaises et à ne jamais se mettre en opposition avec elles sous quelque forme que ce soit, alors leurs cas devraient être examinés et certains pourraient alors devenir français à part entière et bien sur pas à moitié.
C'est ainsi que nous concevons la nationalité, et en aucun cas autrement. Et le jour où fatalement nous arriverons aux affaires (à moins que nos compatriotes ne se résignent à la disparition de la France), cela se passera ainsi.
Vous me citez notre devise nationale que je trouve dépassée et sans réel fondement.
Moi je vous réponds : Libertés, Responsabilité, Solidarité. Libertés, car la liberté n'existe pas au singulier. Seules les libertés au pluriel existent et sont à défendre. D'ailleurs en France, elles sont menacées de mort, avant tout pour les Français qui se voient menacés de sombrer en Dhimmitude. Responsabilité, car il n'y a pas de liberté sans responsabilité. C'est par ce qu'on a rendu les gens totalement irresponsables en France que les français se voient privés de libertés. Solidarité enfin, car je ne suis pas « frère » avec l'humanité. Non merci, j'ai déjà une famille et je connais mes « frères ». Idéologiser la famille, c'était bon pour le 18ème siècle, mais on a un peu évolué quand même. Par contre, il faut se montrer solidaire avec les autres si on est humaniste et chrétien. J'ajoute que l'Identité transparait dans cette triple devise. Libertés d'être nous mêmes, Responsabilité, car nos racines, nos régions et la Nation sont le cadre naturelle de nos libertés à défendre, Solidarité, parce qu'on s'occupe d'abord de son prochain avant de songer à son lointain.
Non, le Nationalisme n'est pas la guerre. C'est un mensonge historique affirmé par des fossoyeurs. Il y a certes eu des guerres sordides et atroces par le passé. Elles n'étaient pas dues au nationalisme mais à des idéologies constructivistes et nocives (le communisme et le nazisme), comme à la mésentente entres nationalistes qui n'avaient pas compris que leur intérêt vital était de s'unir.
Aujourd'hui, les nationalistes de tous les pays, à commencer par les européens, doivent s'unir. C'est un impératif absolu, et c'est pour cela nous nous sommes engagés. Pour notre identité et pour notre avenir. Ils l'ont compris et c'est pour cette raison que de partout en France et en Europe, ce cri se fait entendre : « On est chez nous ! ».
Je peux par contre et de très bon cœur conclure comme vous.
VIVE LA FRANCE !
Nous ne faisons pas cela pour tout le monde, mais votre message faisant suite à une si odieuse agression, nous nous devions de vous répondre dignement.
« A bon entendeur, salut... »
Anne Marie G Pour « Tacle ».
très chère Anne-Marie, je pense que nous nous sommes pas tout à fait comprises, je partage et respecte les valeurs que vous défendez, mais je ne fais pas de généralité, l'humain est individu, c'est en celà que je perçois ou non d'après mes valeurs s'il me correspond. Personne ne détient la vérité, car elle est toute personnelle, personne ne se justifie de quoi que ce soit, c'est un fait c'est tout, maintenant les propos de mon frère ont été perçu bêtement, tant pis, au fait son neveu c'est mon fils, lui aussi militaire, et coyez moi je l'ai défendu comme une tigresse, oui être français ça se mérite, quand aux religions ce que je leur reproche, c'est leur dogmatisme, en celà je suis laïque, ce en quoi je crois m'appartient, le culte, doit être personnel. Sans ironie, voyons, pensez bien que tous les malheureux du monde ne seront certe pas en accord avec les lois et les valeurs de la république. Je suis flattée de votre commentaire sur le fait "qu'on peut-être un âne et aimé son pays" et comme je m'aime, j'aime mon pays et que je vous soupçonne d'être intelligente, savez vous que le bonnet d'âne a été faussé dans nos écoles de l'époque, car c'est les savants que l'on traitaient de grandes oreilles! je le prend ainsi de votre part et non comme j'ai voulu le traduire pour d'autre! sincèrement venez nous rencontrer ça nous ferait un réel plaisir. Je puis vous dire que vous avez tout mal interprêté, mais moi non plus, je ne peux rien faire pour vous ; bien à vous. Martine
Chère Martine,
Certes l'histoire en a très, très peu connu par le passé, et le monde actuel encore moins hélas. Cependant, le principe n'en reste pas moins vrai. Dans une authentique Démocratie, une Démocratie adulte, responsable et enracinée, ce qui fait avancer le débat et qui améliore encore plus cette même démocratie, c'est la discussion bien sur. Et cette discussion se fait positivement sur des bases saines. Quelles sont elles ? On ne revient pas sur ce qui a été très bien établi par le passé, ce qu'on pourrait appeler les bons acquis, les bonnes valeurs et les bons principes, bref ce qui fonctionne très bien. On ne revient évidemment pas non plus sur ce qu'on sait être malsain et ne jamais fonctionner, ce qui polluerait immanquablement cette même démocratie. De plus, on ne nie jamais les faits et les évidences, on n'esquive pas la réalité, ce que tout le monde voit et sait. Ainsi, sur ces bases, ceux qui prenaient la parole dans l'Agora Athénien faisaient avancer le débat de façon saine et positive, du moins essayaient-ils de le faire, mais les principes de base faisaient qu'au moins on évitait le désordre, le chaos, l'anarchie. D'ailleurs tout orateur était tenu d'expliquer et d'expliciter son propos de façon logique. Inutile de vous dire qu'il fallait avoir le niveau adéquat pour prendre la parole, au risque de se voir ridiculiser, ce qui évitait les incongruités. La majorité a alors tendance à suivre le plus capable. La pyramide est à l'endroit dans un équilibre sain mais très précaire. Il faut donc toujours veiller.
Inversement, dans une Démocratie dévoyée, tout le monde se croit autorisé à dire tout, son contraire et n'importe quoi. C'est le chaos, le désordre et l'anarchie. Dans les esprits d'abord, puis cela gangrène toute la société qui tombe forcement en décadence avant de disparaitre. Bien évidemment, le propre de ce dévoiement est que tout le monde se veut savant, tout le monde a son mot à dire sur toutes choses. On remet en cause tous les acquis, toutes les valeurs, tous les principes. L'idiot finit par avoir raison du savant et pollue de son idiotie la majorité. La pyramide est à l'envers, tout le monde s'en moque, mais l'édifice se casse la figure à tous les coups, même si c'est une lente érosion.
Prenez le simple cas de l'homosexualité. Elle a toujours existé, dans toutes les civilisations et à toutes les époques. Personne ne nie que dans une vraie démocratie, il ne doit pas y avoir d'homophobie, quoi qu'on puisse en penser par ailleurs. Cependant, dans une vraie démocratie, on ne sape pas les fondements de la vie, et même les homosexuels ne réclament pas tout et n'importe quoi. L'homophobie, qui est par exemple avérée dans nombre de pays, dont certaines nations musulmanes où l'homosexualité est passible de la peine de mort, c'est mettre les homos au ban de la société et cela peut aller jusqu'aux pires actes de violence. Mais, en France, dans une société pervertie et dévoyée, on va jusqu'à inverser les valeurs à un point tel, que l'on considère comme homophobe le simple fait de rappeler qu'un couple naturel, c'est un homme et une femme, et qu'un enfant doit en principe et sauf exception, avoir un papa et une maman. Vous voyez là et par un exemple concret jusqu'où peut aller l'anarchie dans une société en décadence.
Il en va de même pour notre identité, où le simple fait de vouloir rester nous mêmes et maîtres chez nous peut aller jusqu'à être considéré comme raciste. Passons, je ne ferais pas aussi long que la dernière fois. Je voulais en venir au fait que vous prenez le droit, comme dans une démocratie dévoyée, de dire ce que vous avez envie de dire, ce qui vous passe par la tête, de ne prendre que les quelques mots gênants dans mon propos, bref de tout faire de tout penser et écrire ce qui pourrait aller dans votre sens et vous réconforter comme vous conforter dans votre opinion. Soit, vous en avez le droit, alors prenez le, profitez en, mais c'est bien la dernière fois que je vous publierais. C'est clair, donc acte.
@ Martine, (suite et FIN définitive)
Vous prenez le droit d'asséner que j'ai "tout mal interprété" (bonjour l'extrémisme, le tout dans un français qui n'existe pas en plus)... Et que vous ne pouvez rien pour moi ! Rires... Bravo et merci d'avoir vous même fort bien illustrer mon propos jusqu'à la caricature. En fervente admiratrice de la démocratie (très) mal comprise, votre unique objectif était donc obligatoirement de me renvoyer ma propre phrase ! C'était ça ! Il le fallait impérativement pour vous soulager alors vous l'avez fait ! Non mais je vais lui montrer à celle là et lui renvoyer sa prose en pleine poire ! Las, ça ne marche pas et ça me fait rire à gorge déployée je vous l'avoue ans honte mais sans peine. Ça ne marche pas, car ça n'a aucune prise vu que vous n'alimentez pas votre propos d'un quelconque début de tentative d'explication voire d'argumentation. Non, on assène, on martelle, sans rien expliciter. "Je suis en démocratie, je fais et dis ce que je veux merde à la fin, alors t'as rien compris, t'as tout faux, t'as tout mal interprété et je peux rien pour toi" ! Super, rien à ajouter c'est trop génial !
Vous n'en tiendrez aucun compte c'est évident, mais pour la forme et "histoire de", je vous (re)précise tout de même que je n'interprétais rien du tout. Interpréter, c'est dégager une analyse de toute une série de faisceaux d'indices, d'informations basiques ou d'évènements. En clair, c'est donner un sens à des choses qui n'en ont à priori pas. Telle n'est pas le cas en la matière, très loin s'en faut, puisque je n'ai fait que reprendre des faits et des écrits on ne peut plus précis. Là dessus, en plus et par dessus le marché, vous me fait évidemment dire ce que je n'ai jamais dit. Fermez le ban...
Concernant l'âne (âne que forcément vous me renvoyez mais j'y reviens en conclusion), je ne faisais que reprendre votre propre formule, et ça ne vous était pas destiné, (relisez moi), mais c'était destiné, non pas à votre frère non plus, mais aux quelques propos que le journaliste fait dire à votre frère. Je ne confonds pas tout moi et, comme tout le monde l'a constaté, je n'ai nullement interprété
Je conclus sur l'âne donc. Ce ne sont nullement les savants qu'on traitait de grandes oreilles, mais oui, on a inversé la définition du bonnet d'âne On mettait un bonnet d'âne auparavant sur les cancres, non pas parce que l'âne était stupide, mais au contraire parce qu'il est l'un des animaux les plus intelligents, et qu'on désirait ainsi symboliser l'envie de transmettre l'intelligence de l'âne à tout cancre dans une classe. Mais les savants "grandes oreilles", aucun rapport avec l'âne, désolé.
Cependant, la honte liée aux oreilles de l'âne ne provient en aucune manière de la "cancritude"? Cela vient de la légende grecque et antique de Midas. Midas ayant humilié Apollon en choisissant Pan en lieu de place d'Apollon en tant que meilleur musicien du monde, Apollon le punit en lui faisant pousser des oreilles d'âne Midas se mit un bonnet pour masquer cette honte et seul son coiffeur connaissait le secret. Ce secret fut si lourd à porter pour lui qu'il creusa un trou dans la terre et hurla "Midas à de grandes oreilles". Des roseaux poussèrent à l'endroit du trou creusé et répétèrent à tout vent le secret. Depuis, les oreilles d'âne ont toujours été symbole de honte.
Voila, fin de la leçon qui ne s'en veut pas une.
J'attendais une toute autre réponse qui m'aurait donné envie, oui, pourquoi pas de vous rencontrer. Elle n'est pas venue, aussi je clos le chapitre. Inutile de réécrire, merci.
Je vous souhaite, à vous et aux vôtres, de vous remettre de vos émotions. Oubliez cette lâche agression et vivez pleinement. Que votre frère et son épouse connaissent tout le bonheur possible.
Sincères et cordiales salutations.
AM
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