Carl Lang : Candidat de la France Française et de l'Europe Européenne !Article paru ce matin dans "Paris Normandie"
"L'Eurodéputé Carl Lang « candidat de la France »
Politique. Suspendu du FN, le Normand va lancer un nouveau parti politique.
Parce qu'il a fait front face à Marine Le Pen, la vice-présidente du FN, tête de liste pour la région Nord-Ouest (Nord-Pas-de-Calais ; Picardie ; Haute et Basse-Normandie), l'eurodéputé sortant - qui y conduisait la liste du Front national en 2004 - poursuit sa tournée en vue des élections européennes de juin prochain.
Carl Lang était hier à Rouen avec Fernand Le Rachinel, également député européen du Nord-Ouest. L'imprimeur et homme d'affaires a quant à lui claqué la porte du FN à l'automne dernier. Il y a tout juste une semaine, la cour d'appel de Versailles a condamné le Front national à rembourser plus de 6,3 millions d'€ à cet ancien compagnon de route de Jean-Marie Le Pen longtemps l'un des plus importants bailleurs de fonds du FN.
Hier à Rouen, Carl Lang - natif de Vernon et ancien conseiller régional de Haute-Normandie - s'est attaché au rappel de ses racines normandes avant d'annoncer qu'il lancerait la semaine prochaine un nouveau parti.
« Je veux initier un processus de rassemblement du mouvement national, offrir aux déçus du sarkozysme des perspectives électorales nouvelles » promet l'ancien vice-président du FN, avant d'estimer que « le FN est une structure du passé ». Celui-ci s'est manifesté hier sous la forme d'un communiqué de presse du secrétaire général du FN, lequel dénonce en terme durs, « le soi-disant ralliement de plusieurs conseillers régionaux FN de Normandie à sa candidature dissidente ».
Au début de sa conférence de presse, Carl Lang s'était effectivement prévalu du soutien de quatre conseillers régionaux sur les six du groupe FN en Haute-Normandie et de quatre sur cinq en Basse-Normandie. A "l'extrême-droite", la bataille promet de faire rage pour départager les « historiques » des « séditieux ».
Christophe Preteux (Paris Normandie)"
http://www.paris-normandie.fr/index.php/cms/13/article/107267/L_eurodepute_Carl_Lang...
http://www.paris-normandie.fr/index.php/cms/13/article/107267/L_eurodepute_Carl_Lang...
Outre que nous ne sommes pas "l'extrême droite", mais la Droite Nationale, Sociale, Populaire et Identitaire, le "journaliste" commet l'erreur d'inverser les valeurs. Bien évidemment, nous et nous seuls sommes les "Historiques". Le reste appartient au passé comme l'a fort utilement rappelé Carl Lang.
Tous sur le Pont nous y sommes !
Un autre article très intéressant, paru dans le quotidien "La Croix" sous la plume de Laurent de Boissieu, et qui donne la parole à Carl Lang, nouveau chef de file légitime du Mouvement National.
"Les pro et anti-Marine Le Pen se déchirent avant les élections européennes...
Écartés, des opposants à Marine Le Pen présenteront leurs propres listes dissidentes pour les européennes, affaiblissant de fait l’opposition interne menée par Bruno Gollnisch
La préparation des élections européennes semble le confirmer : c’est Marine Le Pen qui devrait succéder à son père comme porte-drapeau du FN, alors que le parti frontiste présente aujourd’hui la campagne de ses Listes d’entente populaire et nationale (Lepen). Les adversaires déclarés de la fille du chef se trouvent, en effet, soit affaiblis soit poussés vers la sortie. À l’exemple de Jean-Claude Martinez, candidat déclaré à la succession, écarté de la tête de liste dans le Sud-Ouest au profit de Louis Aliot, secrétaire général et proche de Marine Le Pen. Ou encore de Carl Lang, qui a également dû laisser sa place dans le Nord-Ouest à Marine Le Pen. Les deux hommes conduiront finalement leur propre liste dissidente.
« Marine Le Pen liquide politiquement ses concurrents à la succession », décrypte Carl Lang qui lancera la semaine prochaine un nouveau mouvement politique. « La question de savoir qui prendra la succession de Jean-Marie Le Pen est devenue secondaire, poursuit cet ancien secrétaire général du parti. La réalité c’est que si Jean-Marie Le Pen préside toujours le FN, c’est déjà Marine Le Pen qui le dirige. » Ce que dément Louis Aliot. « Le Pen père reste le patron, martèle l’actuel secrétaire général. C’est lui qui est derrière toutes les décisions. C’est comme lors de l’affaire mégrétiste : les contestataires savent bien qu’il est contre-productif de taper sur Jean-Marie Le Pen, alors ils ménagent le père et attaquent la fille. »
Il n’en reste pas moins que les exclusions ou démissions de grands cadres amoindrissent de fait l’opposition interne à Marine Le Pen. La liste ne cessant de s’allonger depuis 2003-2004 : Bernard Antony, Jacques Bompard, Marie-France Stirbois, Christian Baeckeroot, Carl Lang, Jean-Claude Martinez, Martine Lehideux, Martial Bild, etc. « Je déplore ces départs car ils affaiblissent le FN et ma sensibilité à l’intérieur du FN », reconnaît Bruno Gollnisch, ancien délégué général du parti. Candidat déclaré à la succession de Jean-Marie Le Pen, celui qui partage avec Marine Le Pen le poste de vice-président exécutif du FN semble avoir fait le service minimum pour défendre ses soutiens.
« Bruno Gollnisch est dans une stratégie interne », explique Carl Lang en le dédouanant. « Sa faiblesse mais aussi sa force c’est de ne jamais avoir voulu organiser de faction interne », analyse un proche de celui qui a été reconduit tête de liste du FN dans l’Est. De fait, l’homme reste populaire chez les militants, qui l’ont placé en première place, juste devant Marine Le Pen, lors du dernier congrès, en novembre 2007.
Au-delà des questions des personnes se profilent toutefois de véritables questions de fond. « Le FN était une structure de rassemblement des différentes sensibilités du courant national, ce n’est plus qu’une structure de défense des intérêts familiaux, affirme Carl Lang. Directrice stratégique pour la campagne présidentielle de 2007, Marine Le Pen a fait un contresens politique majeur : au moment où Nicolas Sarkozy lepénisait son discours, elle s’est acharnée à “délepéniser” son père. Elle est totalement responsable de cet échec électoral et de ceux qui ont suivi. » Fondateur du FNJ en 1973, aujourd’hui président du comité de soutien de Carl Lang, Christian Baeckeroot en est persuadé : « Au fond d’elle-même, Marine Le Pen n’a jamais été de notre famille de pensée. »
Une vision des choses que ne partage pas bien entendu Louis Aliot. « Le FN s’adapte à la situation du moment, car les problèmes d’hier ne sont pas ceux d’aujourd’hui, concède-t-il. Mais la thématique des méfaits de l’immigration ou de l’Europe reste des valeurs sûres de notre combat. » Ce que confirme Bruno Gollnisch : « Le FN est certainement très imparfait sur tel ou tel point de doctrine mais, pour le moment, je ne vois aucune autre formation crédible pour défendre nos fondamentaux : la famille, l’identité nationale, l’inversion des flux migratoires, etc. »
Les anciens et les modernes
Il n’en reste pas moins que c’est l’éternelle querelle entre les anciens et les modernes qui risque de se rejouer au sein du FN, lorsque l’heure de la succession arrivera. Une échéance que Jean-Marie Le Pen vient de repousser : statutairement prévu en 2010, le prochain congrès se déroulera finalement en 2011.
L’intéressé n’excluant par ailleurs pas de se représenter à la présidentielle en cas de « circonstances exceptionnelles ».
Laurent de BOISSIEU"
Une chose est certaine, l'espoir a succédé au rêve et demain la réalité s'imposera d'elle même.
LE MOUVEMENT NATIONAL EST ENFIN DE RETOUR !
Jamais les ralliements n'ont été aussi nombreux, jamais les médiocres n'ont été autant aux abois usant en vain de basses et indignes méthodes tant nauséabondes que répugnantes, jamais la joie n'a été aussi grande dans nos cœurs. Le succès rencontré par l'initiative de Carl Lang dépasse les espérances les plus folles. Nous reviendrons demain sur les raisons de cette évidence qui s'impose dorénavant à toutes et à tous : Pourquoi Carl Lang ne peut pas échouer !
Vive l'avenir !
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