vendredi 29 mai 2009

« BOUBOURSE » OU LA VIE ... (DE FAMILLE) - « PAPA JEAN MARIE », HISTOIRE D'UN NOUVEAU « CRÉDO » ! (ET QUAND PATRICK BOURSON S'EN FAIT L'APÔTRE...)

« Boubourse » ou la vie ... (de famille) - « Papa Jean Marie », histoire d'un nouveau « Crédo » ! (et quand Patrick Bourson s'en fait l'Apôtre...)



La Mitterrandie agonisante avait son « papa m'a dit » en la personne de Jean Christophe Mitterrand, la Lepénie finissante a son « papa c'est lui » en la croyance sidérante comme hérétique à tous les niveaux (politique et religieux), la foi absolue, incompréhensible, intégriste et pour tout dire "abracadabrantesque", d'un homme pourtant pas si mauvais que cela, Patrick Bourson.


Car, autant le dire de suite par honnêteté intellectuelle, nous aurions préféré ne pas avoir à écrire cet article. Pourquoi ? Parce qu'il se trouve que Patrick Bourson est loin d'être le pire. Il n'a jamais attaqué Carl Lang et le « Parti de la France », étant même l'un des rares du dernier carré à parler d'incompréhensions et à refuser le mot de trahison, contrairement aux séides les plus médiocrement marqués. De plus, c'est un homme de cœur, qui a la fibre sociale, qui aide les handicapé(e)s et qui sait rester simple voire humble malgré les apparences.


Mais voilà, ceci étant dit et bien dit, on n'est ni au bistrot ni à la kermesse ,mais en politique. Et la politique est une chose sérieuse, surtout quand elle est sensé se faire au service de la France et des Français d'abord. Il y a des choses qu'on peut et qu'on doit tolérer venant d'un sympathisant de base, mais qu'on ne doit jamais accepter lorsqu'il s'agit d'être élu, même si l'on s'en va très loin de son domicile (se faire oublier?) pour tenter de l'être. Ajoutons enfin que le torrent de boue déversé par certains sur le grand militant de toujours qu'est Jean Verdon nous obligeait à rétablir un peu la vérité et à surtout alerter nos compatriotes sur l'impératif prioritaire et absolu de n'accorder leurs suffrages qu'au seul candidat de Carl Lang et du « Parti de la France », qui a pris la tête de la seule liste crédible à nos yeux.


Le cœur a ses raisons que la raison ignore, mais la raison a elle aussi ses raisons, celles que le cœur doit ignorer. Nous nous contentons de regretter, une fois de plus, un choix d'investiture pour le moins stupéfiant. C'est le choix de Patrick Bourson de s'être embarqué dans cette galère, c'est le nôtre de faire en sorte que le moins d'électeurs nationaux possible y soit entraînés. Un de nos correspondants de la Marne nous a assuré que, selon lui, Patrick Bourson se verrait bien, accrochez-vous, en successeur de Le Pen lui même, d'où sa volonté d'être député européen. L'hypothèse parait bouffonne et farfelue, mais notre ami nous affirme qu'il se verrait bien en Gérard Schivardi de Droite, et qu'à l'inverse de l'ex candidat d'extrême gauche à la dernière Présidentielle, Patrick Bourson a les moyens financiers de satisfaire une telle ambition s'il le fallait. A méditer par tous les parieurs invétérés comme par les amateurs de franche poilade. Les autres préféreront renvoyer celui que certains militants surnomment "boubourse" à ses chères études viticoles et ne prendre aucun risque. Nous, ça pourrait certes et éventuellement nous amuser un peu, mais ça ne changerait rien non plus à notre démarche ni à nos choix et options.


D'ailleurs, très, très loin des considérations personnelles, la marque de fabrique des candidatures FN de 2009 ne réside t-elle pas finalement (et très prosaïquement) dans l'extrême carence du dernier carré en militants valables et en cadres de qualité ?


De toute façon, il est absolument hors de question de voter pour un candidat qui n'est pas identitaire et qui est partisan de l'avortement. Le contraire serait grotesque !


Donc voilà, c'est dit, nous n'avons rien contre Patrick Bourson en personne, mais nous avons tout contre sa candidature. Nous la jugeons totalement inadaptée, sur la forme, (il n'est pas de la région), comme sur le fond (avortement, euro, idées générales, "Crédo" délirant et grotesque, etc, lire ci-après), d'autant qu'encore une fois, dans la même région dite du « Centre », le « Parti de la France » de Carl Lang présente une liste tout de même d'une autre tenue conduite par le militant nationaliste de toujours, notre ami et camarade Jean Verdon, liste pour laquelle toutes et tous les nationaux, nationalistes et patriotes voteront bien évidemment le 7 juin prochain.


Aucune hésitation possible donc sur le coup, puisque nous avons TOUT pour Jean Verdon, que ce soit à titre personnel et amical, comme au plan politique. Le cœur s'allie donc finalement à la raison, tout va bien !


Tel n'est malheureusement pas le cas pour ce qui est de Patrick Bourson.


Sur la blogosphère liée au dernier carré, on doit souvent se contenter de lire ceci concernant l'investiture, en tant que tête de liste aux élections européennes du 7 juin 2009 et pour le « Centre », de Patrick Bourson.


« Patrick Bourson. Né le 18 mai 1956 à Troyes. Marié, 3 enfants. Profession : Viticulteur, négociant en vins »


Les choses se résument-elles pourtant à ce « CV - ticket de métro » laissant à penser à un long fleuve tranquille ? Non bien sur. Pas plus que le curriculum vitae poétiquement modifié circulant parfois...


Aborder politiquement le cas Patrick Bourson, c'est aborder en fait un concentré des critiques patriotes plus ou moins récentes vis à vis du Front National.


En effet, depuis plusieurs mois et concernant le FN, émanent du camp national des reproches et des jugements qu'on avait pas l'habitude d'entendre en règle général et par le passé. Certains parlent de sectarisme marxiste, de dernier carré, en référence à un « parti » (et son chef historique) qu'on tente de diviniser, alors qu'en principe et vu de droite, il n'est sensé n'être qu'un outil, aussi brillant soit-il. D'autres parlent de méthodes staliniennes, en référence au fait qu'on réécrit l'histoire en permanence, qu'on brûle officiellement ce qu'on a adoré, qu'on efface toute trace des (nombreux) partants, qu'on n'hésite jamais à métamorphoser un héros en salaud et inversement, qu'on biffe des CV des (rares) restants les zones d'ombres encombrantes afin d'écrire « d'authentiques » panégyriques, bref qu'on « s'arrange » avec la réalité pour en dégager une vérité toute « officielle ». D'autres évoquent des dérives népotiques, dans la préférence filiale, allant jusqu'à ne plus parler de Front National, mais de « front familial ». D'autres enfin font mention de pratiques « bananières », affirmant que les fondamentaux seraient relégués loin derrière le fait du prince, transformant un idéal sain, actif et fertile, en adoration béate, passive, creuse et surtout irrationnelle. Nonobstant les injures à répétition, la somme alchimique de ces critiques donnant la formule suivante : Diviniser pour régner, même post mortem, ce par tous les moyens possibles, même les plus staliniens, (et plus encore)... C'est ce qu'indique clairement Martial Bild, quand il évoque la poignée "qui en deux, trois ans, a mené ce parti au désastre" !


Sur ces bases, la candidature frontiste de Patrick Bourson dans la circonscription électorale dite du « Centre » apparaît effectivement comme un concentré, et pas qu'un peu comme vous allez pouvoir vous en rendre compte.


Patrick Bourson se défini lui même comme un candidat atypique. Il a raison ! Même s'il ne dit pas toujours pourquoi et que les informations que nous avons trouvé ne figurent pas toutes, tant s'en faut, sur son CV de campagne.


Chaud partisan d'une politique sécuritaire et de la « tolérance zéro », inlassable combattant de la voyoucratie et ardent défenseur de la peine de mort, il sait de quoi il parle.


Comme il aime à le raconter lui même, le viticulteur assure avoir fait trois mois de prison à l'armée pour « refus d'obéissance ». Ce qu'il raconte moins depuis qu'il entend être élu, c'est qu'en 1980, il a été condamné à 12 ans de prison pour braquage, qu'il a passé 5 ans à Clairvaux, prison de très haute sécurité bien connue, et qu'il a été privé de ses droits civiques durant 25 ans, ne les récupérant que sur le tard. Il a été gracié par François Mitterrand et certains n'hésitent pas à parler de liens avec l'ancien ministre socialiste de l'agriculture Henri Nallet. Précisons tout de même là aussi que nous ne critiquons pas Patrick Bourson pour son passage par la case prison. Il a fauté, il a payé, point ! Ceci étant dit, à l'image de ce qu'avait souligné Jean Marie Le Pen durant la campagne présidentielle de 2007 à propos de Nicolas Sarkozy, il y a peut être d'autres caractéristiques, d'autres qualités, d'autres passés à mettre en avant quand il s'agit d'accéder à de très très hautes fonctions politiques, comme c'est le cas pour la députation, qu'elle soit nationale ou européenne. D'autre part, le FN n'avait-il pas dans ses rangs une autre tête de liste plus historique et surtout plus frontiste à investir ? Enfin, s'il s'avère que si ce sont souvent les péripatéticiennes repenties qui s'adonnent au bigotisme le plus profond, il n'en demeure pas moins que cela constitue bel et bien un paradoxe surprenant. Passons...


Reste quand même un (sale) goût (très) amer dans la bouche, quand on repense au traitement particulièrement minable réservé à des camarades comme Philippe Bernard et tant d'autres. Patrick Bourson n'est pas directement en cause sur ce plan là, mais décidément, le dernier carré n'a aucune "rate" comme on dit, pratiquant sans vergogne le "deux poids - deux mesures" qu'il ose ensuite reprocher au système de soit disant utiliser contre lui. Têtes hautes, mains propres ? Le camp de l'honneur ? Circulez, y'a rien à voir...


A sa sortie de prison et après quelques déboires, (il sera notamment VRP et condamné de nouveau pour chèques sans provision), il épouse une riche veuve d'un important vigneron de Villers Marmery. Il rachète alors en plus, un domaine en Bourgogne où il ne laissera pas que de bons souvenirs (lire les sujets du « Point » en fin d'article). La bourse alors bien remplie, boubourse" ne fera pas que travailler et deviendra même quelque peu mégalo puisqu'il organisera des fêtes, (avec notamment Gérard Bourgoin, l'ex roi déchu du poulet), en y invitant des artistes comme Boy Georges ou Germaine Jackson, puis il tentera de se présenter à la présidentielle de 1995 (!). En bisbille avec le CIVC (Comité interprofessionnel du vin de Champagne), il ira jusqu'à demander sa dissolution, au motif de la création de ce comité sous Vichy (SIC). Il ira même jusqu'à créer son propre comité avec Jean Marie Le Pen, peut être par antivychisme radical, mais ça, après tout, c'est un point de détail de la présente histoire.


Il se prétendra victime d'une tentative d'escroquerie. En fait, il affirmera apparemment que le « Crédit Agricole » n'aurait jamais du lui accorder un prêt de plusieurs dizaines de millions, vu sa situation financière. Toute ressemblance avec le cas de Bernard Tapie serait fortuite et pure coïncidence.


Bien plus tard, après bien d'autres vicissitudes, il s'associera à Jean Marie Le Pen dans le champagne, ce dernier trouvant cela « rigolo ». En effet, de rigolo, il y aura notamment le lancement d'une cuvée baptisée « Veuve Poignet », grand cru destiné à la communauté homosexuelle, ça ne s'invente pas (!). Une nouvelle version de « réussir à la force du poignet », version qui doit forcément plaire à Marine Le Pen, elle qui vient une nouvelle fois hier de si délicatement prédire "une branlée" (dans le texte) pour Carl Lang, à la tête du "Parti de la France" (tandis qu'elle prétend faire un score à deux chiffres, défense de rire). (http://www.lematin.ch/flash-info/monde/campagne-europeenne-epreuve-legitimite-marine-pen) C'est sur qu'après 2007, elle sait de quoi elle parle question "branlée" !


On ne va pas à ces élections pour faire un score nous Marine, mais pour bâtir, construire, établir, l'inverse de ton oeuvre. Bon, on sait, tu ne vois pas ce que cela peut bien signifier, alors fin de la parenthèse.


Voilà comment à l'époque, le magazine « Le Point » rendra compte de la nouvelle, dans son numéro 1797, dans un article intitulé « Les Candidats et le Vin » : « ... Jean-Marie Le Pen tient une place à part étant lui-même producteur de champagne. Avec son associé, Patrick Bourson, ancien braqueur reconverti, il propose même une cuvée spéciale destinée aux bars gays parisiens sous l'étiquette "Veuve Poignet". Le vin a toujours inspiré les poètes... »


On ne saurait mieux dire...


Mais laissons tout cela de côté pour le moment et intéressons nous à l'homme et à sa vision politique. D'autres ayant évoqué mieux que nous la vie du surnommé « boubourse », nous reproduirons en fin de sujet et in extenso, plusieurs articles de presse qui vous en diront un peu plus sur le personnage.


De même qu'il y a des trous dans son CV, il y a des disparitions opportunes. Ainsi, on ne trouve plus trace de son entretien avec Jean Jacques Bourdin passé sur RMC fin mai 2007, lors de la campagne législatives. Un de nos sympathisants nous a envoyé l'enregistrement qu'il avait fait à l'époque.


Que dit-il pour que certains aient fait disparaître l'entretien ? Tout simplement que politiquement il ne partage pas toutes les idées du Front National, qu'il est plus l'ami de Jean Marie Le Pen, et qu'il est en faveur de l'avortement !


Bah, qu'importe la disparition de l'entretien radiophonique, puisque Patrick Bourson a commis un livre, et que comme tout un chacun le sait, les écrits restent. Cette œuvre a pour titre « fils d'une naine et d'un soldat américain ». Il y confirme, notamment, (p 122) qu'il est en faveur de l'avortement et « qu'il ne partage pas toutes les idées » du FN, loin s'en faut.


Il récidivera d'ailleurs, toujours lors de la campagne des élections législatives, où interrogé par « France 3 Champagne Ardennes », il déclarera ceci, alors qu'il est officiellement candidat du Front National : « Je suis Lepéniste et pas du tout Frontiste, j'aide mon ami Le Pen qui est comme le père que j'aurais aimé avoir. Je vais faire venir bientôt Jean Marie pour ma campagne, avec la chanteuse Nicoletta, une amie, et j'ai le soutien de mon ami Dieudonné. Je ne suis pas trop FN. J'ai voté Nicolas Sarkozy au second tour. Je ne suis Lepéniste que par amitié et je suis candidat pour l'aider. En fait, je suis pour l'Euro et j'ai toujours été pour l'avortement ».


Grand ami de Dieudonné comme il l'affirme (ce dernier viendra effectivement le soutenir), Patrick Bourson n'est en rien raciste. Fils d'une espagnole et d'un soldat américain, élevé par un algérien ancien du FLN (!), il aime tout le monde. Tout le monde, à l'exception de celles et ceux qu'il nomme les « Roms ». Ah les « roms » des anciens pays dits de l'est, il ne les aime pas c'est clair. Il faut dire qu'il y a sérieusement de quoi pour le coup. En effet, lui et sa famille ont été victimes d'un « home jacking » et d'un saucissonage en règle de la part de « roms » qui pourraient être liés à des mafias dites de l'est. Le plus sincèrement du monde, qui n'aurait pas soutenu un militant après une agression aussi sauvage voire barbare de la part de gens qui, de plus, s'en sont pris à son épouse (également conseillère régionale) et à son fils. Cependant, ce n'est évidemment pas une raison pour vouer ainsi tous les « roms » aux gémonies, pour affirmer qu'ils sont un danger pour l'Europe et être ainsi aveuglé à un point tel qu'on en oublie plus ou moins volontairement les dangers d'autres formes d'immigration bien plus dangereuses, ainsi que les risques pour notre identité liés à l'islamisation en France et en Europe. Ce n'est pas non plus une raison pour venir rouer de coups un journaliste local qui n'a fait que son travail, qui plus est (et pour une fois) dans un article tout à fait objectif. Enfin, ce malheur familial et le fait d'être « lepéniste mais pas du tout frontiste » ne sont en rien des gages de sérieux et de qualité pour avoir fait de Patrick Bourson une tête de liste aux européennes.


Au rayon « idées » en fait, Patrick Bourson, qui n'en est jamais à court, croit détenir la vérité. La France a une très grosse maladie, c'est Nicolas Sarkozy qu'il assimile à ... un tube de Vaseline, (ajoutant avec délicatesse et en public « Je pense que tout le monde aura compris l'image »), et il connait le remède miracle prescrit par « le docteur Le Pen, grand spécialiste », qui se trouve être un tube également mais ... de Biafine !


On sort là définitivement du microcosme pour pénétrer les arcanes du macrocosme, on entre de plein pied et comme le disent les savants dans « les domaines supérieurs de l'être », bref on plane à un niveau céleste dans les très hauts domaines de la métapolitique, vous savez, là où la science devient un art. Il ne nous reste plus qu'à nous incliner devant de telles majestés confinant à une subtilité quasi divine.


Le divin justement, venons y. Car Patrick Bourson n'est pas qu'un penseur, c'est aussi un fidèle croyant. Ah, certes, son Crédo n'est pas le nôtre, ni surement le vôtre, mais après tout, ne vaut-il pas mieux croire que pas du tout. A vous de juger.


Son Crédo c'est ... Jean Marie Le Pen. Jean Marie est grand et « boubourse » est son prophète ! On en revient obligatoirement aux critiques de dérives marxistes sectaires de divinisation du parti et de son chef telles qu'en a connu la sinistre idéologie communiste, et telles que les stigmatisaient fort à propos Carl Lang, lorsqu'il réaffirmait avec justesse que le FN et son président avaient été de très brillants outils au service de la cause, mais certainement pas au-delà.


C'est effectivement chose impensable comme impossible quand on se prétend de Droite Nationale, Populaire, Sociale et Identitaire, quand on prétend défendre les libertés individuelles sous le couvert des valeurs françaises, européennes et chrétiennes.


Alors, encore une fois, à vous de juger.




Vous aurez noter que non seulement Jean Marie Le Pen applaudit (SIC), mais que si l'on en croit Patrick Bourson, il approuve ce nouveau crédo par un vibrant « Je suis votre père » !


Pour nous la cause est entendue, c'est la cinquième dimension...


Il paraît que Jean Marie Le Pen l'appelle « Pat ». Coluche aurait dit Pat ... ibulaire mais presque.


Patrick Bourson affirme pouvoir faire beaucoup... Désolé monsieur, mais pour nous c'est bien trop. Alors, malgré tout, on se passera hélas de vos bienfaits et on fera sans vous !


Heureusement, dans la grande circonscription électorale dite du « Centre » (Massif Central, Centre, Auvergne), les nationaux, nationalistes et patriotes ont la chance de pouvoir voter pour leur candidat, un candidat qui était d'ailleurs la tête de liste du FN en 2004, notre ami et camarade Jean Verdon.


Pour mieux vous en rendre compte, courrez vite voir et entendre Jean Verdon.


http://www.dailymotion.com/video/x9106u_jean-verdon-le-parti-de-la-france_news


http://www.dailymotion.com/relevance/search/%22jean+verdon%22/video/x976pj_jean-verdon-france3avi_news


Visitez régulièrement son excellent site de campagne.


http://jean-verdon.hautetfort.com


Retrouvez toutes les informations importantes concernant la campagne de Jean Verdon sur le site du « Parti de la France », sur celui de Michel Hubault son ami, son camarade de combat sur la région et secrétaire général du PDF, et également sur notre site.


http://michelhubault.hautetfort.com


http://www.parti-de-la-france.fr


Jean Verdon est la seule tête de liste authentiquement patriote et enracinée. Il est lui un véritable enfant du pays et non un parachuté. Il est lui un véritable défenseur de la cause française. Aussi, le 7 juin, pas une voix ne doit se porter sur un autre candidat que Jean Verdon.



Le 7 juin, sur la région « Centre », le seul vote possible c'est le vote pour la liste du « Parti de la France », c'est le vote pour la liste de Jean Verdon.


Le 7 juin, votez et faites voter partout dans le Centre pour

Jean Verdon !



TOUS AVEC JEAN VERDON !



TOUS AVEC CARL LANG !



- Quelques articles de presse concernant Patrick Bourson.


« Le Pen se lance dans le champagne


Le leader du FN investit dans les bulles. Le Pen a signé son premier contrat d'approvisionnement hier après-midi à Mailly-Champagne. Dans trois ans, une cuvée pourrait être lancée à son nom.

Le Pen est radieux. Ravi de venir « bousculer la grande bourgeoisie du champagne », le président du Front national le promet : «Ca va défriser !»


A soixante-seize ans, il vient de s'offrir avec Jany, son épouse, 50 % du capital de la maison de négoce François Daumale, sise à Rilly-la-Montagne, près de Reims. C'est Patrick Bourson, détenteur de l'autre moitié, qui en a eu l'idée. Son épouse, viticultrice dans la Marne, siège depuis le mois de mars sur le banc du FN au conseil régional de Champagne-Ardenne.


Gros coupé Mercedes, montre en or, M. Bourson ne craint pas d'étaler ses moyens. Son ambition aussi paraît illimitée : «Il y a quelques années, je ramais dans ma barcasse au milieu de l'océan. Aujourd'hui, je reviens avec un porte-avions, un sous-marin nucléaire et deux destroyers.»

Le porte-avions, c'est Le Pen. Avec, pour l'instant, un armement mesuré.


Le contrat d'approvisionnement signé hier après-midi chez Michel Garitan, un vigneron de Mailly-Champagne qui doit également se charger de presser ce raisin, ne porte que sur cinq hectares. Mais Patrick Bourson est formel : «D'autres accords sont conclus avec trente-sept exploitants de la Marne, de l'Aisne et de l'Aube pour un total de près de cent hectares». S'il vise 200.000 cols à partir de la vendange 2004, son objectif est de collecter à terme la production de cent cinquante hectares afin d'approcher «le million de bouteilles».


Le rosé de Jany


Patrick Bourson se montre plus discret sur un point : le montage financier. On sait simplement que la SARL sera gérée par Madame : «Moi, je suis déchu de mes droits civiques depuis plus de vingt ans».


Une condamnation pour braquage et cinq ans à Clairvaux n'ont pas l'air d'effrayer le leader du FN. «C'est plutôt rigolo», commente Jean-Marie Le Pen qui précise aussitôt : «Je suis de ceux qui donnent une deuxième chance à tout le monde». Outre la cuvée à son nom, Le Pen pourrait baptiser dans trois ans un rosé «Jany» destiné notamment à quelques marchés de l'Union dont l'Allemagne, l'Autriche, l'Italie. Amateur «relativement éclairé», il se plaît à mettre un pied dans «une illustre profession» dont les rouages lui sont à peu près étrangers.


Inutile d'insister, on ne saura rien de l'ampleur de sa mise. Le leader frontiste veut minimiser le niveau de sa fortune : «J'ai payé 70 % de droits de succession sur l'héritage Lambert». Lequel représentait en 1976 «dix-sept millions de francs lourds».


En prenant position dans le vignoble, Jean-Marie Le Pen reconnaît avoir des intentions commerciales - «Faut bien vivre.» - tout en insistant sur le côté symbolique de l'affaire. «Le champagne est l'oriflamme de notre viticulture», explique-t-il, «mais nos viticulteurs sont destinés à disparaître. La France ayant abandonné ses frontières à l'Europe et l'Europe s'étant abandonnée au reste du monde, nous sommes incapables de supporter la concurrence des pays où les charges sont plus faibles».


Patrick Bourson, dissident des organismes interprofessionnels du champagne, estime pour sa part que « l'autoprotection est une autodestruction ». Il prône, pêle-mêle, «l'abandon des restrictions», «le kilo de raisin à 4€» et «la fin de l'appellation d'origine contrôlée».


Franck Leclerc


L'Union de Reims – édition du 26 juin 2004 »




« Champagne


Le nouveau cru de Le Pen


Christophe Deloire


Le goût de Jean-Marie Le Pen pour les personnalités originales est connu. Il vient d'en fournir un nouvel exemple. Le 24 juin, à Reims, le président du FN annonçait sa décision d'investir dans le champagne, en association avec un viticulteur, Patrick Bourson. « Ça va défriser », lançait-il, en évoquant la reprise de 50 % d'une maison de négoce, François Daumale.

Epoux d'une conseillère régionale FN de Champagne-Ardenne, l'associé de Le Pen a suivi un cursus peu commun, qu'il compte raconter dans un livre : « Moi, Patrick Bourson, fils d'une naine et d'un soldat américain ». Le viticulteur assure avoir fait trois mois de prison à l'armée pour « refus d'obéissance ». D'où, selon lui, une spirale infernale.

En 1980, il est condamné à douze ans de prison pour braquage et déchu de ses droits civiques, qu'il n'a jamais récupérés. En 1989, il sera aussi sanctionné pour chèques sans provision. Mais Bourson réussit sa sortie de prison. A partir de 1990, il fait parler de lui. Il organise « le plus grand barbecue du monde », avec un concert de Boy George. Pour recouvrer ses droits civiques, il fait la grève de la faim devant le domicile du garde des Sceaux, Henri Nallet. En vain.

Encarté au FN, Bourson, qui « couche tous les quinze jours chez Le Pen », tente de recruter chez les propriétaires de champagne. Le tandem veut défendre le champagne, « cible principale d'une attaque mondiale contre notre industrie agroalimentaire ».


© le point 08/07/04 - N°1660 - Page 8 - 257 mots »




« En Champagne Patrick Bourson s’allie avec Jean-Marie Le Pen


L'Yonne républicaine - 10.07.04


Patrick Bourson, qui n’a pas laissé que des bons souvenirs dans l’Yonne, fait encore parler de lui. Dans son édition hebdomadaire, notre confrère Le Point annonce son retour dans le milieu du vin, en Champagne. Et pas avec n’importe quel associé, puisqu’il s’agit de Jean- Marie Le Pen, le président du Front national. Ce dernier a en effet annoncé le 24 juin, à Reims, son intention d’investir dans le champagne, avec le viticulteur Patrick Bourson, en reprenant la maison de négoce François Daumale.


Après un long séjour en prison pour braquage, Patrick Bourson s’était reconverti dans la viticulture au début des années 1990 en rachetant le domaine Luc Sorin à Saint-Bris-le-Vineux. Son entrée dans le paysage viticole icaunais a fait rapidement des vagues en même temps qu’elle faisait monter le prix des terres. Cigares, grosses voitures, costumes bien taillés, Bourson n’avait de cesse d’épater la galerie.


Les banquiers, dont le Crédit agicole, ont fait partie de ses premières victimes car son ambition financière ne connaissait pas de limite. Désireux de prendre une revanche sur la vie qui ne l’avait pas épargné, il entreprit de construire un château avec chai, cuverie et salle de réception pour les mariages. En 1991, sa folie des grandeurs aidant, il organisa, à Saint-Bris, « le plus grand barbecue du monde » avec la complicité de Gérard Bourgoin et Marc Meneau, la présence de Boy George à cette manifestation étant la cerise sur le gâteau.


Le château Bourson resta une coquille vide et l’apprenti viticulteur quitta l’Yonne comme il y était arrivé : par un coup médiatique. Une grève de la faim devant le domicile tonnerrois d’Henri Nallet, pour recouvrer ses droits civiques »




« Dieudonné soutient un candidat lepéniste


NOUVELOBS.COM 22.05.2007 19:13


L'humoriste, condamné en mars pour incitation à la haine raciale, s'est rendu à Reims pour rencontrer Patrick Bourson, candidat du Front national, qui se présente dans la troisième circonscription de la Marne.


L'humoriste Dieudonné Mbala Mbala est venu apporter mardi 22 mai son soutien à un ami et associé de Jean-Marie Le Pen, Patrick Bourson, candidat du Front national aux législatives dans la troisième circonscription de la Marne (Reims-Suippes). "Je ne suis pas membre du Front national, mais il est important que les hommes de bonne volonté se réunissent", a déclaré l'humoriste."J'ai eu la chance de rencontrer la femme de Jean-Marie Le Pen au Cameroun. Même sans soutenir le mouvement politique, j'ai trouvé cela formidable", a-t-il ajouté.


Condamné pour un braquage


En mars, Dieudonné a été condamné en mars à 5.000 euros d'amende par le tribunal correctionnel de Paris pour "incitation à la haine raciale", après avoir comparé les "juifs" à des "négriers" dans une interview au Journal du Dimanche. Il a fait appel.

Le candidat qu'il soutient a récemment récupéré ses droits civiques. Patrick Bourson a raconté dans un livre autoédité avoir été condamné et emprisonné pour des braquages à la fin des années 1970.


"Je suis lepéniste par amitié, je ne suis pas frontiste", affirme-t-il. Défenseur de l'avortement et de l'euro, il dit avoir voté Nicolas Sarkozy au second tour de la présidentielle »




« Le FN fait dans le distingué.


En lieu et place du tourangeau Jean Verdon, qui sera la tête de liste du Parti de la France de Carl Lang sur la région Massif central-Centre aux élections européennes, Jean-Marie Le Pen a trouvé un personnage haut en couleurs pour conduire celle du Front national. Si on aime l’épicé, on est servi. Champenois de 53 ans, Patrick Bourson a passé quelques années de sa vie derrière les barreaux pour avoir opéré des retraits bancaires sans l’autorisation des caissiers. Depuis, il s’est beaucoup amendé. Associé de Jean-Marie Le Pen dans une maison de vins de champagne, il a connu un joli succès récemment avec une cuvée baptisée « La Veuve Poignet », particulièrement appréciée dans les bars gays de la capitale.


Présenté de nouveau l’an passé aux juges pour avoir boxé un journaliste, cet homme apprécie les bons mots : dans une interview réalisée au début de ce mois à... Vichy, il s’est livré à de subtils calembours en évoquant deux de ses adversaires aux européennes : Martine « débris » et Daniel « comme la b... », « j’sais jamais comment dire son nom à celui-là » a-t-il finement ajouté. Et dans un meeting, il y a quelques jours, il a comparé le président de la République à un tube de vaseline.

Son programme n’est pas très détaillé, mais on sait qu’il n’ira pas « à l’Europe comme à la gamelle. J’suis pas un cleps ». Généreux, il promet de verser ses 5 500 € d’indemnités mensuelles de député européen (on aura, au moins, appris ça) aux Restaurants du Cœur des 13 départements de sa grande circonscription.


Pour rester dans la distinction et le débat d’idées, on peut citer aussi la conseillère régionale d’Ile-de-France, Marie-Christine Arnautu. Selon l’Express du 6 mai, cette proche de Marine Le Pen a pesté en public contre « les petites p..., autrement dit Carl Lang et ses proches, les derniers déserteurs en date du FN ».


« Le Furet de Tours »


14 mai 2009


http://www.lefuretdetours.com/2009/05/le-fn-fait-dans-le-distingué.html




« Les millions du champagne


Après Lambert et ses ciments, c'est dans le champagne que Le Pen trouve un disciple qui lui manifeste dévouement et attachement. Au point de lui proposer sur un plateau la moitié des parts d'une société de champagne en pleine expansion.


Patrick Bourson, 51 ans, entrepreneur efficace et candidat FN aux prochaines législatives dans la Marne, est un vrai "cabossé" de la vie. Enfance en orphelinat, maison de correction, engagement chez les paras. En 1980, un vilain braquage lui vaut de passer cinq ans à la centrale de Clairvaux.


Après sa sortie il refait sa vie dans le vin à bulles. Il épouse une héritière du cru - elle-même conseillère régionale FN - et monte sa propre maison, la champagne Rémy Vincent. En 2000, à nouveau la guigne : se croyant condamné par la maladie - il est aujourd'hui invalide à 100 % -, Bourson liquide sa société et se retrouve à la tête d'un pactole de "quelques millions d'euros", dit-il.

C'est alors qu'arrive Le Pen. Une sorte de miracle : les deux hommes se rencontrent par l'intermédiaire d'un évêque, à l(occasion d'une opération menée par Jany, la seconde épouse du Chef, en faveur des enfants d'Irak. "Ils ont été tout de suite charmante avec ma femme et moi se souvient la viticulteur. Ils nous ont invités, on dormait chez eux. On n'imagine pas leur gentillesse."


Bref le coup de foudre. "Grâce à lui, j'ai repris confiance et j'ai retrouvé le goût de travailler", raconte Bourson au "Canard".


Quelque temps plus tard, nouvelle tuile, son fils tombe gravement malade. "Pendant trois semaines, Jean Marie, qui se trouvait au bout du monde, s'est levé tous les jours à 3 heures du matin pour prendre de ses nouvelles par téléphone. Personne n'a jamais fait ça pour moi !" Et Bourson, saisi par l'émotion, d'ajouter : "Jean-Marie est le père que j'aurais voulu avoir. D'ailleurs, je l'appelle papa."

En 2003, quand le viticulteur, qui s'est un peu requinqué, rachète François-Daumale, une marque de champagne en déconfiture mais pleine de potentiel, il pense naturellement à y associer papa Jean-Marie.


D'autant que dans le milieu de la bulle le président du Front est une personnalité fort appréciée. "Ici, explique Bourson, les trois quarts des viticulteurs votent Front national." Il existe même une cuvée qui porte son nom. Le Pen et son épouse reçoivent donc 50 % des parts de la société. "Il n'a pas apporté beaucoup d'argent, il a apporté sa tendresse et sa confiance en moi. C'est le plus important", affirme le viticulteur. Qui refuse de donner la moindre indication chiffrée. D'ailleurs, à quoi bon : "Ce n'est pas une histoire d'argent, c'est une histoire sentimentale entre deux hommes."

Ce qui ne l'empêche pas de se montrer prévoyant. "Quand Jean-Marie partira, il touchera le prix de ses parts. Les sommes sont déjà fixées, et les papiers sont signés." Combien ? Là encore, mystère. En attendant, Le Pen se retrouve, selon l'expression officielle, "négociant manipulant" en vin de Champagne. "Et pas manipulateur !", précise son bienfaiteur. Ouf !


Sa maison, dirigée par Bourson, entrepreneur avisé et bien implanté dans le vignoble, se développe rapidement : son chiffre d'affaires (800 000 euros en 2003) a dépassé les 5 millions en 2006. La société, dont les Le Pen possèdent la moitié, "vaut aujourd'hui plus de 10 millions d'euros", proclame fièrement le viticulteur. Chut ! Moins fort ! Et si un inspecteur des impôts entendait...

H.M.

Le Canard enchaîné N°4508 - mercredi 21 Mars 2007 »




Quelques liens.


http://www.dailymotion.com/video/x1azkl_champagne-veuve-poignet-le-pen_politics

(la "fameuse" cuvée "veuve poignet" !)


http://www.leprogres.fr/fr/permalien/article/1541041/Le-Front-national-veut-secouer-le-landerneau-europeen.html


http://www.zbang.org/le-comptoir-f14/vous-pouvez-lui-dire-papa-t2735.htm


http://www.dailymotion.com/video/x9739w_patrick-bourson-se-presente-vichy-l_




Les élections européennes ne sont ni un concours de mastroquet ni la « Star Academy » du comique troupier !


Les nationaux, nationalistes et patriotes doivent voter pour leurs idées et pour des candidats crédibles qui les représentent au mieux !



Le 7 juin, pas une seule voix pour les candidatures de division !



Le vote utile, c'est le vote pour la liste du « Parti de la France » de Carl Lang conduite par Jean Verdon.




Le 7 juin votez et faites voter partout dans la région centre


pour Jean Verdon !



TOUS AVEC JEAN VERDON !


TOUS AVEC CARL LANG !




2 commentaires:

Daniel a dit…

Proprement hallucinant ! Ce candidat est plus qu'atypique mais extraterrestre. Pro avortement, pro euro, n'ayant rien contre l'islamisation, et ce "tout le monde devrait appeler jean marie papa dans cette nation", c'est bon n'en jetez plus, la coupe est pleine.

J'ai été visionner la vidéo entière de son intervention et c'est un véritable "jus de beauferie".

Et voir Le Pen s'autoapplaudir... je n'y croyais pas. Décidément on aura tout vu. Tout. Fermez le ban.

Anonyme a dit…

Je ne devrais peut-être pas mais je suis pris d'un fou rire dont je ne peux pas me défaire après avoir visionné quelques unes des vidéos en lien...
J'espere que Jean Verdon va faire un bon score, lui le militant serieux, fidèle...
Ce Bourson est une caricature à lui tout seul, un résumé de ce qu'est devenu le FN depuis quelques temps. Je vais montrer ça à quelques amis, de bonnes crises de rire à venir !!!